J’étais l’invité cette semaine de BFM TV pour évoquer les risques liés à la libération de plusieurs détenus condamnés pour terrorisme ou radicalisés.
Il serait hypocrite de tenter de rassurer l’opinion publique en évoquant des mesures particulières de surveillance de ces individus.
J’ai pour ma part critiqué l’absence de prise en charge sérieuse des détenus radicalisés et d’une manière générale fait le procès de l’absence de politique gouvernementale en matière de le lutte contre la récidive. Car les détenus radicalisés sont en prison pour des faits de droit commun. La surpopulation carcérale qui conduit à la promiscuité produit des effets désastreux.
Nous n’avons pas terminé de traiter le sujet.